Education

Fonds de justice sociale

Sub-title
À propos
Indéfini

Unifor milite pour la justice sociale partout dans le monde

Unifor est déterminé à améliorer la vie des travailleuses, des travailleurs et de leur famille, tant au Québec qu’ailleurs dans le monde. Cet engagement s’exprime concrètement par les actions de notre Fonds de justice sociale.

Le Fonds de justice sociale d’Unifor fait soutient le rôle des syndicats et des groupes de travailleuses et travailleurs en vue de renforcer la démocratie, de promouvoir un développement équitable, de contribuer à l’élimination de la pauvreté, tout en favorisant la justice sociale et des réformes éducatives.

Le Fonds est un organisme de bienfaisance enregistré et administré par son conseil d’administration (qui comprend notamment des dirigeants du syndicat ainsi que des personnes externes). La contribution au fonds se fait lors de la négociation de nos conventions collectives avec les employeurs, que ce soit sur la base de cents par heure ou sur la base d’une somme globale. C’est une manière pour les travailleuses et travailleurs de souligner que la justice sociale est une priorité absolue et, qu’en travaillant collectivement, nous pouvons faire une différence non seulement au Canada, mais ailleurs dans le monde.

Les projets du Fonds de justice sociale sont très diversifiés en voici quelques exemples : des campagnes pour améliorer les droits des travailleuses et travailleurs et les droits de la personne, des projets de développement et d'aide humanitaire (un soutien aux gens confrontés à des inondations catastrophiques, des famines, des conflits armés et des maladies), des projets qui font la promotion du leadership chez les femmes ou des campagnes qui militent pour la paix et la sécurité. Le Fonds de justice sociale répond à des préoccupations immédiates de personnes, mais il s'attaque aussi aux causes fondamentales et développe la capacité à long terme des personnes dans le besoin.

Près de 20 % des sommes du Fonds de justice sociale sont utilisés pour des organismes basés au Québec et au Canada pour compléter les nombreuses autres initiatives que le syndicat et nos membres soutiennent au pays.

Nous allons continuer de lutter pour améliorer les droits des travailleuses et travailleurs, ainsi que les droits de la personne et par le fait même, à créer les conditions qui permettent aux travailleuses et aux travailleurs d’améliorer leur propre vie, peu importe où ils habitent et travaillent. Unifor est fier d’être un maillon d’une longue chaîne d’organisations de défense des droits de la personne et de syndicats dans le monde.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le livret du Fonds de justice sociale en imprimant ou téléchargeant le livret (disponible en cliquand sur le bouton "Dépliant du Fonds de justice sociale d’Unifor – 2015" dans la colonne de droite.

Pour information : infoquebec@unifor.org

Fichiers
Dépliant du Fonds de justice sociale

Politiques d'Unifor

Sub-title
À propos
Indéfini

Vous retrouverez dans cette section, les politiques du syndicat Unifor. Veuillez cependant noter que lors de sa création en 2013, les deux syndicats fondateurs avaient adopté chacun de leur côté plusieurs politiques sur plusieurs enjeux d’importance. Afin de simplifier le processus et ne pas faire table rase sur tout ce qui avait été réalisé, il a été résolu, en congrès de fondation, que certaines des politiques des deux organisations fondatrices étaient reconduites. Naturellement, plusieurs de ces documents sont présentement en révision. Vous devrez donc ne pas tenir compte des références contenues dans ces textes relativement au SCEP ou aux TCA, le cas échéant. De plus, nous reproduisons les nouvelles versions au fur et à mesure.

Fichiers
Programme de négociation collective d'Unifor
Politique d'Unifor contre le harcèlement en milieu syndical
Politique d'Unifor contre le harcèlement en milieu de travail
Politique relative aux affaires statutaires - article 18 des statuts
Politique de la caisse de défense ( 2020)
Politique d'Unifor dans le secteur de l'aluminium
Unifor - politique sur la forêt 2017
Politique d'Unifor sur l'aérospatiale: Toujours plus haut: une stratégie sectorielle pour l'aérospatiale
Politique dans le secteur de l'énergie
Politique dans le secteur des médias
Politique dans le secteur des télécommunications
Politique d'Unifor dans le secteur de l'aérospatial

Histoire d’Unifor

Sub-title
À propos
Indéfini

Unifor a été officiellement formé le 31 août 2013 lors de son congrès de fondation à Toronto. Cette journée a souligné l’union du syndicat des Travailleurs canadiens de l’automobile (TCA) et du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier (SCEP), deux des plus grands syndicats au Canada ayant une grande influence.

Depuis des dizaines d’années, le nombre de membres des syndicats (en pourcentage de l’emploi total) est en constante régression, notamment dans le secteur privé. En parallèle à ce déclin du taux de syndicalisation, on constate une hausse marquée de l’inégalité des revenus, des menaces accrues à la sécurité de la retraite, un taux de chômage et un sous-emploi chronique (en particulier chez les jeunes), ainsi qu’une hausse notable des formes de travail précaire et incertain, notamment chez les nouveaux arrivants. Le déclin de l’influence des syndicats coïncide avec la montée de politiques favorisant les entreprises dans les années 1980, y compris des réductions d’impôt, la déréglementation du marché du travail et des accords de libre-échange dirigés par le milieu des affaires.

Unifor se veut une réponse audacieuse à la question : Comment les syndicats répondent-ils à l’évolution de l’économie et à ces nouveaux défis ?

Son grand nombre de membres diversifiés (présent dans pratiquement tous les secteurs de l’économie) fait d’Unifor l’une des voix les plus représentatives de notre économie nationale. Sa structure organisationnelle représentative et ses formes novatrices d’adhésion lui permettent de mieux aborder les questions économiques et politiques régionales au nom des travailleuses et travailleurs. Son mandat principal – être un syndicat efficace bâti par ses membres et profondément ancré dans la collectivité – fait en sorte que le travail d’Unifor touche la vie quotidienne des familles québécoises et canadiennes.

Dès sa conception, Unifor est devenu une source d’optimisme et d’inspiration rendant possible un avenir plus équitable et sûr pour les travailleuses et travailleurs. Il fait aussi la démonstration que les syndicats peuvent s’adapter lorsque les temps changent et demeurer une voix pertinente au sein de notre société pour défendre les principes de justice sociale.

 

À l’origine

Les deux syndicats fondateurs d’Unifor sont des organisations qui partageaient de nombreuses caractéristiques communes, à savoir des syndicats : 

  • pancanadiens ayant acquis leur autonomie dans les années 70 et 80 vis-à-vis de syndicats internationaux ;
  • oeuvrant principalement dans le secteur privé ;
  • reposant sur des structures similaires basées sur les règles de la démocratie ;
  • aux cultures semblables et dont la combativité a été mainte fois démontrée ;
  • affiliés à la même centrale syndicale, la FTQ ;
  • avec une longue histoire d’engagement et de militantisme envers les communautés ; 

bref des syndicats puissants et bien ancrés dans la société québécoise.

Les TCA

Si, comme leur nom l’indique, les TCA étaient avant tout un syndicat qui représentait les travailleurs et travailleuses de l’industrie automobile, ce n’était plus le cas au moment de la création d’Unifor. En effet, ce syndicat était l’un des plus importants du secteur privé et comptait 20 000 membres au Québec provenant majoritairement des secteurs de l’aérospatiale, de l’aluminerie et du transport. 

Le SCEP

Le SCEP était issu d’une fusion de trois syndicats : le Syndicat des travailleurs et travailleuses en communication et en électricité du Canada (STCC), le Syndicat des travailleurs de l’énergie et de la chimie (STEC) et du Syndicat canadien des travailleurs du papier (SCTP). Au moment de la fondation d’Unifor, le SCEP-Québec, qui représentait plus de 30 000 membres oeuvrant principalement dans les secteurs des télécommunications, des médias, de l’énergie, du papier et de la transformation du bois, était également l’un des plus importants du secteur privé.

 

 

 

Pages